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Uv, plein soutien aux élus de l'Assemblée de Corse

"Ils se voient refuser l'usage de la langue corse"

Le groupe de l'Union Valdôtaine exprime son plein soutien aux élus de l'Assemblée de Corse qui se voient refuser l'usage de la langue corse lors des travaux de l'Assemblée.
    Le 9 mars le Tribunal administratif de Bastia a en effet annulé les articles du Règlement intérieur de l'Assemblée de Corse - voté à l'unanimité par l'Assemblée le 16 décembre 2021 et par le Conseil exécutif le 8 février 2022 - qui prévoyaient que "les langues des débats sont le corse et le français". Le Tribunal considère que cette disposition viole l'article 2 de la Constitution, selon lequel "la langue de la République est le français".
    Le président du Conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, et de l'Assemblée de Corse, Marie-Antoinette Maupertuis, ont souligné dans un communiqué que "cette décision revient à priver les élus de la Corse du droit de parler leur langue à l'occasion des débats au sein de l'Assemblée de Corse, du Conseil exécutif de Corse, et des actes de la vie publique. Accepter cette situation est pour nous impensable".
    Le groupe du Conseil de l'Union valdôtaine considère que "cette décision du Tribunal administratif de Bastia, présentée comme une violation de la Constitution française, est en réalité une violation flagrante et bien plus grave des règles les plus élémentaires de respect d'un peuple - comme celui Corse - qui a toujours exprimé son identité à travers une culture et une langue bien spécifiques qui méritent d'être protégées et transmises, même dans les moments les plus institutionnels".
    Les conseillers de l'Union Valdôtaine condamnent "cette décision néfaste" et expriment "toute leur solidarité aux élus corses et s'engagent à porter la gravité de cet événement à la connaissance du Conseil régional de la Vallée d'Aoste". 

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